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Suivez la femme

18 juin 2012

Stéphanie...(1)

photo (20)

 

Elle lui avait été recommandé par une de ses collaboratrices, elle était jolie, blonde, souriante, un peu timide lui sembla t'il la première fois.
Elle avait les diplomes qu'il fallait, Bac + 5, même si ce n'était pas la formation adéquate, mais bon, elle était si jolie, dans son petit tailleur noir,ses talons au pied et ce chemisier qui se tendait sur ses seins.
Elle avait un petit ami depuis 2 ans avec qui elle vivait, il était Mns en piscine, déjà, à ce moment là, une lumière clignota au fond de son esprit.
Finalement, elle fût recrutée, il devait la former pendans 3 mois.
La formation démarra sans grand enthousiasme de sa part, il n'était pas très chaud pour passer du temps avec une débutante à lui apprendre les BABA du métier.
Un jour alors qu'ils travaillaient en jeu de rôle sur un entretien commercial, le scénario dérapa, elle lui avoua qu'elle avait très envie de se "faire" une femme et qu'elle avait envie de découvrir des endroits libertins.
La lumière qui clignotait depuis le premier jour dans un coin de sa tête, s'alluma pour de bon.
Il savait qu'il avait cette faculté très sexuelle, à créer cette empathie ou les femmes se livrent, ce n'était pas la première fois ni la dernière d'ailleurs...
Ce soir là, il ne fît rien de plus, laissant volontairement du temps au temps...
A leur rendez-vous suivant, il fit monter la sauce doucement, des allusions douces, elle lui avait dit qu'elle aimait porter des bas, plutôt que des collants, il lui demanda à brûle-pourpoint, si elle pouvait lui montrer ce qu'elle avait mis sous sa jupe aujourd'hui...
Elle lui sourit, alla au toilettes, et revint quelques instants plus tard, dans le bar ou ils buvaient un café, c'était un bar à Pau, dans un style russe.
Elle se rassit sur l'espéce de pouf, qui leur servait de siège, elle écarta ses cuisses, dessous, elle portait des bas et rien d'autre, juste un petit ticket de métro, bien en vue au dessus d'une fente découverte.
Il lui sourit, animal, sa main descendit entre ses cuisses, ses doigts jouérent sur la mince toison et pénétrérent un sexe déjà humide et bien acceuillant.
Il la caressa, dans ce bar, en plein aprés midi, ils ne firent pas attention au regard oblique, ni à qoui que ce soit d'autre d'ailleurs...
Ils repartirent dans sa grande voiture, pour un rendez-vous qu'ils avaient à faire.
Mais ils n'y arrivérent jamais, sur le parking de l'hotel Mercure de Pau, ils firent l'amour, sauvagement, il la déshabilla entièrement, goûtant ses petits seins biens droits et caressant son cul si rond et si bien cambré.
Ils restérent bien 1h30 dans la voiture protégés par la buée et le petit bois qui entourait le parking.
Les trois mois qui suivirent fûrent 3 mois de sexe à outrance, sans limite ni tabous...
 

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18 juin 2012

Prologue...

002

 

Il était seul au bord de l'océan, il regardait les vagues qui inlassablement venait mourir à ses pieds.
Il était au bord de la cinquantaine, toujours bel homme, malgré le poids des ans qui arrondissait sa silhouette et alourdissait sa démarche trop altière avec ses épaules posées en arrière sur son buste musclé par des années de Rugby au plus haut niveau.
Il avait toujours ce regard bleu-vert et ce sourire charmeur, qui avait encore plus d'éclat avec ses tempes grises aujourd'hui.
Son téléphone qui sonnait dans la poche de son jean, pas envie de répondre, il verra plus tard.
Il se souvenait de tout de ses trente cinq dernières années qui étaient passées si vite.
De ses amitiés, de ses trahisons, de ses amours, de ses fuites, des sourires et des pleurs.
Lui ne pleurait jamais ou rarement, il avait cette faculté à passer à autre chose de suite, animal à sang froid.
Il avait cette capacité intellectuelle, à analyser à chaud, à prendre la bonne décision, sans se laisser influencer par le moindre stress, imperméable à la pression, cloisonnant sa vie par compartiment étanche.
Un de ses compartiment se retrouvait submergé par une voie d'eau, il ne cherchait pas à écoper, il cloisonnait immédiatement, laissant la situation en l'état, il aurait le temps d'y revenir plus tard, au calme.
Lui le fils d'employé communal, dont la mére faisait des ménages pour arrondir les fins de mois.
Lui qui aujourd'hui gagnait plus de 15.000 € par mois, qui avait une belle et grande maison avec piscine, jardin, 4X4 rutilant...
Installé professionnellement, cadre supérieur dans une banque d'affaire.
Il avait une femme, issue de la bourgeoisie locale, elle lui était indispensable, surement la seule femme qu'il aime.
Il avait des enfants, famille nombreuse, réussite scolaire pour tous.

Et puis il y avait la grande affaire de sa vie, son pouvoir de séduction...
Il s'en était apeçu vers 16-17 ans environ, il vit ses filles lui faire des oeillades, il sentait ses regards sur lui quand il partait se baigner à la plage.
Il se souvenait surtout des 5 qui avait compter pour lui, et de quelques autres qui lui avait plu, juste le temps d'une rose...
Il n'oubliait rien, mémoire de ses amours comme de ses déchirures, il se repassait le film d'une vie, la sienne, sans jamais s'en lasser
Mégalo, il se sentait protégé, presque invincible, jouant sur un fil côté brune ou côté blonde, parfois il tombait, mais ne rencontrait que le vide, mais tel un chat, il retombait sur ses pattes, sourire aux lèvres, l'excuse à fleurs de mots.
Il était un prédateur, manipulateur, jouisseur de la vie sans êtat d'âme, ne lui importait que son plaisir, le reste l'agacait...

Il était cet homme, sans remords, ni regrets, au bord des vagues, le sourire au lointain et il se souvenait de Stéphanie...

 


 

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  • Histoire d'un homme, de ses fautes, de ses amours, réels ou fantasmés... Ses fautes lui ont coûté nombre de ses amis, jouant tel un DSK de province à rire de ses mensonges et à se glorifier de son charme... Sexe, mensonge et trahison... sa axiome
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